Le choix de la bonne route

Ecrit par
CHODATON Alain Bruno Franck
ikben

Introduction
Le choix est un mot parmi tant d’autres.Faut-il le définir pour mieux le comprendre.Je pense que point n’est besoin de le définir.Nous l’employons tous occasionnellement.L’employons-nous tous dans le même sens?Qu’attendons-nous des choix que nous faisons?Nous verrons d’abord avec nos propres choix et ensuite avec ceux des autres pour apporter plusieurs réponses.Nous verrons combien il est richissime de comparer nos choix à ceux des autres.Nous allons partager nos expériences personnelles par rapport à nos choix réussis ou non.

1 Le choix



Qui sait choisir va droit au but.Qui sait choisir arrive à destination.
Nous pourrions dire: “Qui choisit une chose a de forte chance d’arriver au bon port. “Une petite nuance à faire à ce niveau. Il y en a qui font un bon choix et n’arrivent jamais à sortir leur tête du tunnel. Il y a un problème. Le choix est fait. Le choix des moyens pour rendre concret le choix initial est inexistant.Nous comprenons qu’il puisse y avoir des difficultés dans le désir de concrétisation du choix primordial. Si nous choisissons tel itinéraire pour aller d’une région à une autre, il nous faut les moyens qui nous permettent d’effectuer notre déplacement plus ou moins long.

2 Le seul choix


Le seul choix signifie que nous ne faisons pas de mélange avec ce que nous voulons et autre chose.Le danger , c’est que quand nous avons plusieurs choix, les tergiversations ne manquent pas.Nous finissons par ne pas nous décider.Le seul choix permet d’observer ce que nous aimons avec tout le temps qu’il faut.Le seul choix permet la concentration facile et non éreintante de ce que nous désirons et cherchons.Le choix n’est pas tout à fait la destination.Il y conduit.C’est un peu comme la pose de la première pierre.Il en faut d’autres pour arriver à la construction d’un bâtiment.
3 Les choix multiples


Les choix multiples nous compliquent la vie.Elles peuvent nous être utiles.Il suffit de les prioriser.Autrement, il nous sera difficile de les concrétiser.Plusieurs choix signifient plusieurs possibilités.A ce niveau, il est beaucoup difficile de faire le vrai choix.Si toutes les possibilités sont bonnes, que devons nous faire?Elles peuvent être toutes bonnes, mais il y a une possibilité parmi toutes celles existantes qui nous convienne.Laquelle?Problème.Une jeune fille passe le bac et arrive au second tour.Pour compléter ses points, on lui demande juste de choisir les matières indiqués au tableau.Parmi les matières proposées, certaines posent un problème à la fille.Si elle les choisit et arrive à répondre aux questions posées, elle va compléter sans l’ombre d’un doute les points qui lui manquent.Son salut se trouve dans ces matières là.Les maths ne lui apportent rien.Elle est plus littéraire que scientifique.Elle finit par choisir le français et d’autres matières.Elle croit que le français peut régler son problème.Pas du tout.Elle va connaître la chûte à l’air libre.Ça ne marche pas son choix du français.Les autres matières choisies à côté du Français vont lui apporter plus de points.Helàs pour le français!Aucun résultat positif.Insuccès au Bac.
4 Les bons choix







5 Les mauvais choix
6 Le choix et la reùssite
7 Le choix et l’échec`



L’échec a plusieurs causes. Ceux et celles qui ont déjà connu l’échec une ou maintes reprises en saent quelque chose. Nous prenons le cas d’un enfant qui qui rate son examen.les parents l’interrogent pour en avoir le coeur net sur son insuccès à l’examen.Qu’as-tu fait, fils, pour ne pas rèussir à ton examen?Pas de réponse.Le pauvre enfant est sous le choc.Il est fragilisé par son échec.En plus de cela, il y a l’interrogatoire parental auquel il ne peut pas échapper.Selon les informations reçues par les parents au sujet des examens, tout était à portée de main. Apparemment l’enfant ignore les causes de son échec.Il n’arrive pas à répondre à ses parents.L’incompréhension des parents est compréhensible.Pour eux, l’enfant était bien libéré au niveau de son cerveau.Pas de souci.Le petit déjeuner était donné à temps pour l’empêcher d’arriver en retard au centre d’examen.L’enfant était très entouré par des parents très soucieux et très dévoués.Une cause des causes de l’échec de l’enfant pouvait bien être l’agoraphobie.Il se sentait mal en salle.Le lieu ne convenait pas.La première présence dans une grande salle d’examen ne rassure toujours.Tout seul assis sur une chaise et devant lui une petite table.Rien de plus.Séparé des autres élèves par une petite distance insignifiante,laquelle ne donne pas la possibilité de jeter un coup d’oeil sur la copie d’autrui.Père et mère ne viennent pas à la rescousse. Il faut utiliser sa cervelle pour tirer son épingle du jeu.L’enfant a t-il choisi l’échec? Il est évident que non. Son problème, c’est la peur. Avec la peur, la crainte, l’inquiétude, l’enfant peut passer facilement à côté de l’essentiel. L’essentiel ici n’est rien d’autre que son bonheur. C’est un bonheur de rèussir à son examen. C’est un bonheur de rèussir aussi dans d’autres situations et occasions. La peur, au fond, peut empêcher le choix d’aboutir à quelque chose de comblant.
8 Le choix et l’impasse


Nous allons nous retrouver seuls si nous ne savons pas faire le bon choix. Autrement nous allons connaître la solitude.Cette solitude émane de la situation dans laquelle nous nous trouvons.Nous faisons ici allusion à l’impasse.Quand nous sommes dans une impasse, il nous est difficile d’avancer.Pas d’issue devant nous. Ce que nous pouvons faire dans l’impasse, c’est de prendre du recul.L’impasse signifie ici la présence d’un mur devant nous.Si nous pouvions l’escalader, ça ne serait pas mal. Il est impossible.Faisons marche à reculons pour pouvoir prendre la bonne direction.Les gens qui ne savent pas qu’ils sont devant un mur invisible vont attendre sans résultat.Ils vont continuer à attendre vainement.Les jours passent, les mois, les années aussi. Ils ont la conviction que c’est la bonne voie qu’ils ont choisie.Personne ne peut les en dissuader.Ils ne vous écouteront pas.Vos conseils sont inutiles. Ils sont persévérants et courageux. Ils ont la foi.Plus nous leur parlons, plus nous les énervons.Ils nous regardent comme de mauvais conseillers.Quelquefois, il est bon de leur dire gentiment qu’une tête est très limitée.Plus de têtes valent plus qu’une.C’est de la sagesse d’accepter ce que les autres nous disent pour notre bien.Que nous recevions de bons ou mauvais conseils, il nous revient le travail de discernement.

9 Le choix et l’erreur


Le choix que nous faisons peut être erronné. Il ne nous mènera nulle part. Il ne faut pas espérer arriver à destination. Un exemple rendra beaucoup plus clair ce que nous venons d’avancer.Un homme devait partir d’une région vers une autre. Il n’était pas de ce pays.Le nom de la région était bien enregistré.Il se le répétait pour ne pas l’oublier.Quand l’homme arriva à la station de bus, il alla s’adresser à une vendeuse de ticket.Cette dernière, dans la précipitation, encaissa l’argent et lui remit un ticket. Le pauvre, sans contrôle, mit le ticket dans son porte-feuille.Il commença la lecture de son journal.Une heure après, il fallait présenter son ticket pour pouvoir monter dans le bus.Tout lui rèussit.Son plus grand problème, c’était la langue du pays.Il la parlait un peu.Sa petite connaissance de la langue le sauvera.Le voyageur arriva dans une première ville.Ce n’était pas la ville de sa destination.Il ne descendit pas du bus.Il garda sa place dans la tranquilité. Après le premier arrêt, le voyage reprit.Le pauvre voyageur commença à être pensif.Il se demandait s’il avait pris la bonne direction.Pendant qu’il était là perdu dans ses pensées,il se rendit compte que le bus était arrivé dans une autre ville.Cette fois-ci, il se mit à trembler. Il décida de poser la question à un passager qui allait descendre du bus.Ce dernier était arrivé à destination.”Dites-moi: Combien de kilomètres me restent-ils pour arriver dans telle région?”
La réponse de la personne interrogée fut comme un coup de massue reçu sur la tête:” Vous avez pris la mauvaise direction.”Que dois-je faire maintenant pour sortir de ma situation? allezà la police vous signaler.Parlez de votre problème.Elle pourra faire quelque chose pour vous. Autrefois, ils aidaient les gens qui se trouvaient dans la même situation que vous.
10 Le choix et le courage


Le choix et le courage vont ensemble.Il arrive que plusieurs possibilités se présentent dans notre vie.Nous avons à mettre la main sur une des possibilités, une seule et pas plus.Pour nous qui devons choisir, nous avons peur de choisir entre ces possibilités.Nous ne les maîtrisons pas.C’est ce manque de maîtrise des possibilités qui s’offrent à nous, lequel nous fait peur.Une personne courageuse va se lancer sans arrière pensée.Souvent elle arrive à un résultat positif.Ceux qui avaient peur de se lancer sont plongés dans l’admiration devant le succès de l’homme courageux.Combien de fois, pour ce qui me regarde, j’ai eu à perdre des chances offertes par la providence?Je n’avais pas la flemme de choisir.Le choix était fait.Seulement, il me fallait beaucoup ou peu de courage pour saisir ces opportunités.Combien de fois le manque de courage m’avait limité dans mes actions?Il me le fallait juste pour rendre mes actions éclatantes.Dommage!
11 Le choix et la confiance



Si nous n’avons pas confiance en nous, qui aura confiance en nous? Si nous n’avons pas en nous, nous donnerons l’occasion à nos ennemis de se rire de nous.Notre confiance en nous est notre garde-fou, notre sécurité.Cette confiance dont nous parlons commence en Dieu. Nous avons confiance en Dieu.Nous avons confiance en nous.La confiance en Dieu donne robutesse à la confiance que nous avons en nous.Il nous faut impérativement la confiance dans tout ce que nous cherchons , faisons et disons.

12 Le choix et la détermination

La détermination équivaut à la tenacité.Un choix est fait.Il faut être tenace. Il faut maintenir le choix à tout prix.Nous avons choisi.pas de panique!

13 Le choix et les moyens


Je veux avoir un diplôme.C’est mon option.Mais cette option est onéreuse.Il faut payer cher pour commencer une formation qui peut durer deux à trois ans. Sans mamon, il est ici impossible de rendre concret mon choix.Si je vis avec des parents pauvres, il n’est pas évident qu’il me paye les études en vue de l’obtention de ce diplôme.Certains parents me diront: Nous cherchons de quoi mettre sous ta dent.Ce que tu vas manger est plus important que ce papier que tu cherches. Ils me comprendront difficilement. Ils peuvent avoir raison.Je ne les juge pas.Le peu d’argent qu’ils ont ne peut pas régler mon problème.C’est tout à fait logique leur mode de penser.Ce qu’ils pensent tient la route. Ce qu’ils disent est est vrai aussi. Quand nous sommes plus jeunes, nos réflexions de jeunes nous incitent à mal juger les décisions de nos parents. Ils me négligent.Ils ne s’intéressent pas à ma vie. Ils ne pensent qu’à eux.Notre incompréhension nous éloigne du terrain des réalités.Ne soyons pas hâtifs dans nos jugements.Pas de jugements gratuits. D’autres parents sachant bien combien il leur coûte de vivre quelquefois dans l’impécuniosité, vont se sacrifier pour me satisfaire.Ils sont visionnaires.Ils voient l’avenir comme étant déjà présent.Ils ne peuvent pas trop me faire attendre.C’est beau de savoir qu’il y a au moins dans le monde des gens qui puissent nous comprendre.Et dès qu’ils nous comprennent et nos soucis mineurs ou majeurs, ils ne peuvent pas rester inactifs et indifférents.Nous pouvons faire notre choix.Un autre peut nous procurer les moyens. Tel est le cas des parents qui agissent pour le compte de leur enfant.Nous pouvons aussi choisir et concrétiser le choix que nous avons fait par nos propres moyens.Tel est celui qui veut voyager.Il choisit pour ses vacances estivales d’aller dans un autre continent.Il sait qu’il doit prendre l’avion ou le bateau.Il faut décaisser.Ce n’est pas de l’amusement.C’est du sérieux.Le choix du voyage est là.Ou mieux le choix de sa destination pour les vacances et le choix des moyen de transports. Evidemment, il va s’agir du moyen de transport aérien.C’est beaucoup plus rapide.Dans notre vie, nous avons souvent des choix à faire, petits ou grands.Ils sont incontournables.Nous avons aussi les moyens à chercher pour arriver pleinement à la réalisation de nos choix.

14Le choix et la connaissance.


Avant faire mon choix, je cherche d’abord à connaître ce que j’ai envie de choisir.Le choix sans la connaissance est dangereux.je dois impérativement m’intéresser au sujet de tout ce qui est lié à mon choix futur.Une fois que cette connaissance est acquise, le choix peut-être fait par moi.La connaissance que j’ai de la chose que je veux choisir peut-être fausse.C’est une connaissance, et non forcément une vérité.Il y a des insuffisances dans cette connaissance.Le choix peut-être risqué.


15 Le choix et les conseils.


Je me suis rendu compte d’une chose importante dans mes choix: les conseils des autres.Ils sont importants.Ils ont été vraiment importants dans ma vie.
Il est dangereux de vouloir à tout prix se réaliser tout seul sans l’appui de l’autre notre semblable.
Il est aussi dangereux de vouloir toujours compter sur l’appui de l’autre.
Il faut donc faire quelquefois le départ entre les bons conseillers et les mauvais.
Certains nous conseillent pour le bien de notre âme.Ils ne veulent que notre bien.Ils ne veulent pas nous voir échouer dans notre choix futur que nous allons devoir prendre.Pour cela, ils font tout pour nous guider.Mais malheureusement, nous ne voyons pas très souvent l’apport de leurs conseils.Ce n’est qu’après notre échec que nous essayons de revoir les bons conseils donnés par les bons conseillers.Le problème ici, c’est que c’est trop tard.
Il fallait y penser avant d’agir. Si nous n’écoutons pas les bons conseils, nous allons peut-être écouter les mauvais pour notre insuccès et notre perdition.
En matière d’orientation par rapport à nos choix, nous devons reconnaître que c’est délicat.Même celui qui nous donne de bons conseils peut ne pas nous rendre un bon service.Il nous donne ses conseils de bonne foi. Aucune mauvaise intention n’acompagne ses conseils.Ce qu’il ignore ,en tant que conseiller, c’est le sens profond du désir que nous portons au fond de nous-mêmes.Il ne maîtrise pas notre désir.C’est nous qui le maîtrisons.Et voilà pourquoi, en appliquant les conseils donnés de bonne foi, nous pouvons passer loin de la finalité de notre choix.










Je me suis plusieurs fois fait du mal en suivant les conseils des autres.C’etaient de bons conseils pourtant.Ils pouvaient me rendre heureux normalement.Ils me rendaient plutôt malheureux.
Je me suis plusieurs fois fait mal en ne suivant pas les conseils des autres.C’étaient aussi de bons conseils qu’il me suffisait d’appliquer pour être le plus heureux au monde.
Je me suis rendu compte que je pourrais me rendre heureux en faisant mon choix tout seul sans contact utile ou inutile avec de bons ou mauvais conseillers.
J’ai réussi plusieurs fois dans des choix faits tout seul.
J’ai plusieurs fois échoué dans des choix faits aussi tout seul.
Au final, je me suis posé quelques questions en tenant compte de tous les cas susmentionnés.
Dois-je être mon propre conseiller pour choisir?
Dois-je profiter des conseils des autres tout en oubliant que moi-même je peux être mon propre conseiller?








16Le choix et la liberté


Le choix non libre n’est pas bon, diront certains. D’autres diront le contraire.Tous ont-ils raison ?
Je pense que tout dépend de plusieurs paramétres. Dans certaines situations, je devrais décider moi-même.Dans d’autres, quelqu’un d’autres devrait le faire à ma place.Tout commence à se clarifier.
Quelles sont les occasions qui me permettent de choisir seul.?
Je pense à quelqu’un qui est suffisamment intelligent pour canaliser sa vie.Ses décisions par rapport à son futur sont livres normalement.Il n’est pas interdit que son père ou sa mère lui donnent des conseils tout en respectant sa liberté.Père et mère ne sont pas devant un bébé.Ils sont devant leur enfant qui a grandi.Donc, ils savent qu’il doit y avoir une certaine distance par rapport aux décisions de leurs enfants.Se tenir à distance ne signifie pas abandonner leur enfant.C’est leur manière de manifester à l’enfant le respect et la considération qu’ils ont pour lui.
Quelles sont les occasions qui ne me permettent pas de choisir seul?
Quand nous avons atteint l’âge d’aller à l’école, nos parents ne nous ont pas demandé notre avis pour nous inscrire dans un établissement.Peut-être qu’ils ont présenté à certains plusieurs d’entre nous les possibilités de choix entre les écoles qui existaient dans la ville.S’ils ne nous ont pas demandé votre avis, c’est parce qu’ils étaient libres d’agir ainsi.Ils n’agissaient pas de cette manière pour nous déconsidérer.C’était leur devoir de père et de mère à accomplir à notre egard.C’est une reconnaissance que nous leur devons.







17 Le bon choix et la mauvaise finalité.


Comment peut-il être bon au point de départ et mauvais au point d’arrivée?
Ceux qui ont fait l’expérience pourraient bien nous en parler surabondamment.Des exemples ne manquent pas. Nous devons nous entendre sur ce que nous appelons mauvaise finalité. S’agit-il du non aboutissement du choix?
S’agit-il de la non persévérance dans le choix, de la tergiversation, de l’instabilité?
Il peut s’agir du non aboutissement du choix. Le choix est fait. Les moyens sont présents. Un obstacle empêche l’aboutissement du choix. Nous allons passer à quelques exemples. Un bachelier a choisi d’aller à l’université pour y embrasser la filière des futurs professeurs de français. Tout commence bien pour ce jeune bachelier. La première année est bonne. Pas de remarque de la part des parents.La deuxième année commence avec quelques petites difficultés. L’étudiant commence à perdre un peu de sa motivation.L’année n’est pas validée. Sa motivation va plus bas encore.L’école buissonnière commence. Il saute les cours qui l’ennuient. Ils fréquentent des amis qui s’intéressent peu aux études. Au finish, c’est le changement d’orientation. L’étudiant laisse tout tomber. Il s’intéresse au journalisme. Il va s’inscrire sans problème à l’école où sont formés les futurs journalistes. Il pense pouvoir s’en sortir. Il a une bonne maîtrise de la langue de Molière. Cela ne suffit pas pour lui permettre de sauter le pas. Ça bloque à ce niveau. Il faut lâcher prise pour trouver autre chose.Quoi d’autre? Un autre problème est là. Pour le cas de notre étudiant, nous pouvons parler de sa petite perte de mauvaise motivation due aux mauvaises fréquentations.




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