Vous le savez, la nature nous enseigne. Nous allons vous démontrer un remarquable exemple tiré de l’interprétation des Ecritures.
L’EFFET DU SOLEIL SUR LES CORPS
Colossiens 2:16-17 : « Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d'une fête, d'une nouvelle lune, ou des sabbats: c'était l'ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ ».
L’ombre dans ce verset est constituée du manger, du boire et de différentes fêtes et le corps c’est la personne de Christ. Il n’y a pas d’ambiguïté, le corps est l’unique (ou le Véritable) homme, Jésus-Christ. On parle de l’ombre par rapport à un corps (Jésus) et elle est manifestée par la lumière. D’où il faut la présence du soleil, source de lumière, et du corps qui produit l’ombre. Ceci étant, elle est tributaire de la position du soleil. Du soleil levant au zénith, l’ombre tend (se rapproche) vers le corps, elle annonce le corps, elle prophétise sur le mystère caché, et du zénith au soleil couchant l’ombre s’éloigne du corps. En d’autres termes le corps s’étend sur la terre, se répand. Ici l’ombre renferme ou donnera l’explication du corps. Quant au zénith, l’ombre vient se confondre avec le corps et disparait. Le corps est ainsi révélé dans toute sa splendeur !
2 Rois 20 :9-11 : « Et Ésaïe dit : Voici, de la part de l'Éternel, le signe auquel tu connaîtras que l'Éternel accomplira la parole qu'il a prononcée: L'ombre avancera-t-elle de dix degrés, ou reculera-t-elle de dix degrés? Ézéchias répondit: C'est peu de chose que l'ombre avance de dix degrés; mais plutôt qu'elle recule de dix degrés. Alors Ésaïe, le prophète, invoqua l'Éternel, qui fit reculer l'ombre de dix degrés sur les degrés d'Achaz, où elle était descendue ».
Ezéchias, le fils d’Achaz demande un signe et le signe de l’ombre lui est donné pour reculer de dix degrés sur les degrés de son père. Le père produit l’ombre, celle-ci est en rapport avec le fils. Le Fils est l’image du Père, comme l’ombre l’est du corps. (Pour ce qui concerne la différence des dix degrés, il s'agit là d'un tout autre enseignement).
LE TEMPS EST UNE OMBRE
1 Chroniques 29 :15 : « Nous sommes devant toi des étrangers et des habitants, comme tous nos pères; nos jours sur la terre sont comme l'ombre, et il n'y a point d'espérance ».
Les jours des hommes sur la terre sont tous comme l’ombre parce qu’ils passeront, par là nous comprenons que l’éternité n’est pas une ombre mais c’est ce qui est temporel qui l’est. Ici nous nous posons une question très légitime celle de savoir si aujourd’hui nous qui vivons après la venue de notre Seigneur, sa mort et sa résurrection ; nos jours sont-ils comme l’ombre ? Nous disons oui sans hésitation ni peur d’être contredit. Job réitère : « Car nous sommes d'hier, et nous ne savons rien, Nos jours sur la terre ne sont qu'une ombre » (Job. 8:9) et « L'homme né de la femme! Sa vie est courte, sans cesse agitée. Il naît, il est coupé comme une fleur; Il fuit et disparaît comme une ombre » (Jb. 14:1-2).
Biens aimés, nous voulons attirer votre attention pour que vous compreniez que l’ombre n’a pas cessé avec la venue de notre Seigneur Jésus, mais ce qui est vrai est qu’elle n’est pas la même avant le zénith, qu’après.
JESUS L’OMBRE DE DIEU AU ZENITH
Jésus est aussi l’ombre de Dieu, comme nous l’avions dit plus haut : le père produit l’ombre pour manifester le fils. Voyons ce que dit l’ange annonciateur de la venue du Christ à Marie : « Marie dit à l'ange : « Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d'homme? L'ange lui répondit: Le Saint Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C'est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu » (Luc 1:34-35). L’enfant manifesté par l’ombre du Très Haut est le Fils de Dieu. Il est l’ombre au zénith, où celle-ci se confond avec le corps.
Au début du chapitre 18 du livre de la Genèse, « l’ombre » du Très Haut visita Abraham sous les chênes de Mamré, pendant « la chaleur du jour » : au zénith. Abraham fut couvert par l’ombrage des feuilles (sous les chênes) et reçu la Promesse (le Fils). Jésus le rappelle avec pertinence : « Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour: il l'a vu, et il s'est réjoui. Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis » (Jean 8:56-58).
La promesse fut : « A cette même époque, je reviendrai et Sara aura un fils ». La venue du Fils correspond au zénith où l’ombre et le corps sont UN. De cette affirmation on peut faire le parallèle avec la parole de Jésus lorsqu’il dit de manière solennelle : « Moi et le Père, nous sommes un, celui qui m’a vu a vu le Père ». Il ne faut pas chercher le Père ailleurs, il est couvert de l’ombre (le Fils).
L’Eternel vint à midi et mangea chez Abraham parce qu’il avait faim ; Abraham lui dit de prendre le repas « car c’est pour cela que tu passes près de ton serviteur » (Genèse 18 :5). Et c’est à la sixième heure que Jésus eut faim dans le territoire de Samarie, et il déclara à la femme samaritaine : « Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande » (Jean 4:23). Ceux-ci le sont par la promesse et non par la chair ni par la volonté d’un homme.
« Il (en référence au Fils de la promesse) est venu chez les siens et les siens ne l’ont point reçu. Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, nés non par le sang, ni par la volonté d’un homme mais de la promesse de Dieu » (Jean 1 : 11-13).
Le Fils de la promesse a été manifesté à la chaleur du jour, à la sixième heure pour apporter la grande lumière, la clarté de toutes choses, c’est auprès de lui que l’ombre retrouve son corps pour former une seule chose : Le Fils de la promesse va se répandre sur la terre pour manifester les cohéritiers de la promesse.
L’AVANT ET L’APRES MIDI
L’avant midi, le soleil est en orient avec la maison Israël, à midi le soleil porte un corps, l’ombre est confondu et disparait et l’après-midi, la lumière se répand sur les vrais adorateurs : le corps se répand sur la terre par son ombre.
« Il y avait à Césarée un homme nommé Corneille, centenier dans la cohorte dite italienne. Cet homme était pieux et craignait Dieu, avec toute sa maison; il faisait beaucoup d'aumônes au peuple, et priait Dieu continuellement. Vers la neuvième heure du jour, il vit clairement dans une vision un ange de Dieu qui entra chez lui, et qui lui dit: Corneille! Les regards fixés sur lui, et saisi d'effroi, il répondit: Qu'est-ce, Seigneur? Et l'ange lui dit : Tes prières et tes aumônes sont montées devant Dieu, et il s'en est souvenu. Envoie maintenant des hommes à Joppé, et fais venir Simon, surnommé Pierre » (Actes 10:1-5). Corneille est un étranger qui reçoit la visitation à la neuvième heure pour montrer que c’est l’après-midi, l’heure des gentils. Parce que le soleil a quitté les siens (en sous-entendant les juifs), celui-ci continue sa course du côté de l’occident.
Actes 10 :9 :« Le lendemain, comme ils étaient en route, et qu'ils approchaient de la ville, Pierre monta sur le toit, vers la sixième heure, pour prier. Il eut faim, et il voulut manger. » Pierre eut faim à la sixième heure comme le Seigneur dans le territoire de Samarie devant la femme (« …Il arriva dans une ville de Samarie, nommée Sychar, près du champ que Jacob avait donné à Joseph, son fils. Là se trouvait le puits de Jacob. Jésus, fatigué du voyage, était assis au bord du puits. C’était environ la sixième heure » Jean 4 :5 et 6). Cela n’arriva pas en vain ; voyez comment la vie de Pierre reflète l’ombre (l’image) de Christ qui est le corps. Cependant c’est une ombre qui est projetée par le soleil positionné en occident.
Pierre devait après la sixième heure se rendre vers les païens symbolisés par les animaux impurs pour qui il avait reçu l’ordre de tuer et de manger. Après la sixième heure, le seigneur Jésus quitta Israël pour aller chez les nations.
Notez que la différence entre les prophètes de l’avant midi et nous de l’après midi est que nous avons entendu l’explication de la chose avant qu’elle ne soit, eux ne l’avaient pas entendue.
1 Pierre 1 :10 :« Car Les prophètes, qui ont prophétisé touchant la grâce qui vous était réservée, ont fait de ce salut l'objet de leurs recherches et de leurs investigations ».
Matthieu 13 :17 :« Je vous le dis en vérité, beaucoup de prophètes et de justes ont désiré voir ce que vous voyez, et ne l'ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l'ont pas entendu ».
Revenons sur le cas de Corneille. Pierre reçoit la recommandation de partir vers les gentils, les nations à la sixième heure plus précisément quelques minutes après, à l’heure du repas de notre Dieu.
Esaïe 1 :11 : « Qu'ai-je affaire de la multitude de vos sacrifices? dit l'Éternel. Je suis rassasié des holocaustes de béliers et de la graisse des veaux; Je ne prends point plaisir au sang des taureaux, des brebis et des boucs. »
Il est rassasié de ce qui est offert sur l’autel, les sacrifices étaient sa nourriture, mais il n’a voulu ni sacrifices, ni holocaustes mais il a formé un corps pour que ce dernier soit la nourriture agréée.
Il passa chez Abraham à midi pour manger, il a fallu que le corps soit formé à midi pour que Dieu puisse manger, comme Abraham apprêta la table et donna le pain qui fortifia le cœur de Dieu.
La sixième heure est aussi l’heure où le Seigneur Jésus fut mis à mort.
Dans l’évangile de Marc il est dit qu’il fut mis sur la croix à la troisième heure et expira à la neuvième heure, nous disons amen car l’écriture ne peut être anéantie.
Or Jean fait une déclaration différente : « C'était la préparation de la Pâque, et environ la sixième heure. Pilate dit aux Juifs: Voici votre roi. Mais ils s'écrièrent: Ote, ôte, crucifie-le! Pilate leur dit: Crucifierai-je votre roi? Les principaux sacrificateurs répondirent: Nous n'avons de roi que César. Alors il le leur livra pour être crucifié. Ils prirent donc Jésus, et l'emmenèrent. Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha. C'est là qu'il fut crucifié, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu » (Jean.19:14-18).
Voyez-vous que selon le récit de Jean, ce qui est dit, est très différent de Marc : « C'était la troisième heure, quand ils le crucifièrent. L'inscription indiquant le sujet de sa condamnation portait ces mots : Le roi des Juifs. Ils crucifièrent avec lui deux brigands, l'un à sa droite, et l'autre à sa gauche » (Mc.15:25-27).
La marge d’erreur sur le plan rationnel est trop grande pour dire que les deux narrateurs disent la même chose.
Marc parle de Jésus comme l’agneau du matin et l’agneau du soir, car chaque jour, on offrait deux agneaux d’un an, un le matin et l’autre le soir. Comme Jacob qui fut revêtu de deux chevreaux, Christ fut mis à mort à l’heure de l’offrande du matin (la troisième heure) et expira à l’heure de l’offrande du soir (la neuvième heure).
Cependant Jean montre que la vie de Jésus est le milieu du jour, de la naissance à la mort, voilà pourquoi nous voyons Jésus être donné pour être immolé vers la sixième heure. Prophétiquement nous disons avec précision qu’il fut mis à la croix à cette heure.
La nature témoigne aussi que le soleil se couche après la sixième heure, le coucher du soleil c’est aussi la mort du soleil.
Josué arrêta le soleil au milieu du ciel, à midi. Or le coucher du soleil, c’est la cessation de la marche du soleil. Il y eut un jour tout entier quand le soleil suspendit sa course.
« Et le soleil s'arrêta, et la lune suspendit sa course, Jusqu'à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis. Cela n'est-il pas écrit dans le livre du Juste? Le soleil s'arrêta au milieu du ciel, Et ne se hâta point de se coucher, presque tout un jour ». (Josué 10:13)
Jésus est le milieu du jour, le corps qui donne l’ombre le matin et le soir, autrement dit c’est lui le corps de l’oiseau; et le matin et le soir, les ailes de l’oiseau.
Pour avoir la compréhension de l’ombre le matin, il fallait amener celle-ci au corps, d’où toute la difficulté de saisir la pensée de la chose puisque le corps n’y était pas ce qui veut dire durant tout ce temps, ils n’ont pas connu l’explication des choses ou leur réalité, le soir nous avons l’impression d’avoir déjà la lumière même si nous sommes devant l’ombre puisque le corps a été manifesté.
QUELQUES EXEMPLES POUR MIEUX SITUER LA NOTION DE L’OMBRE
Le mariage entre un frère et une sœur n’est pas la réalité du mariage d’Adam et Eve ou d’un quelconque mariage contracté (avec ou sans Jésus). Nos mariages restent l’ombre du mariage de Christ et de l’Eglise. Vous pouvez constater que Tout en n’étant plus sous la loi, nous vivons l’ombre des choses à venir.
Autre exemple : la communion de l’église de Jérusalem : avoir tout en commun (Actes 2 :42) n’est qu’une ombre de la Jérusalem céleste, pas la réalité du peuple d’Israël, sinon aujourd’hui nous qui disons que nous vivons la réalité, devrions vivre de la même manière, et pourtant ce n’est pas le cas et dans la pratique impossible à mettre en place, sinon il nous faudrait sortir du monde. Voyez les communautés sectarisées qui se sont appuyées sur ces écrits et les ont mis en pratique. Elles se sont renfermées sur elle-même. Leur annonce de Dieu n’est donnée qu’à eux et que pour eux. De plus, toutes celles qui ont appliqué ce mode de vie, ont considéré toutes les autres formes de groupes chrétiens comme étant des apostats (lire « comment reconnaitre une secte »)
D'autres cas :
les longs cheveux de la femme dans la grâce n’est pas la réalité des longs cheveux des femmes de la loi, le corps c’est Christ, la gloire de la femme (ses longs cheveux).
Le jeûne (trois jours sans manger, ni boire) des apôtres n’est pas la réalité du jeûne d’Esther, ni de Mardochée. C’est Jésus qui est la réalité de tout jeûne.
Le vin qu’a bu Timothée après recommandation de Paul est la réalité de quoi ? (voir le message sur "Timothée mon fils-bien aimé") d’un problème d’estomac ? Evidemment non ! En quoi une gastrique nous édifierait-elle ? S’il s’agissait d’un livre de recette de grand-mère ou d'une encyclopédie médicale, on comprendrait, mais nous lisons le Livre qui révèle Dieu !
Quand Paul parle de lui-même, il le fait comme étant l’ombre de Christ : « Je porte les marques…, j’achève les souffrances…, j’ai les douleurs d’enfantement…,je suis le père…,je ne permets pas à la femme…,je les ai livrés…
Il n’y a pas que des points difficiles qui nécessitent une explication mais ceux-ci nous ont permis de comprendre que la lumière de toutes choses est obtenue lorsqu’on l’amène au zénith, c’est-à-dire à Christ. Le soleil étant positionné à la verticalité du corps fait disparaitre l’ombre et toute la réalité se manifeste.
La réalité, c’est l’Esprit et non la chair, les choses spirituelles que nous vivons ce sont elles qui sont la réalité : la compréhension de la parole de Dieu est la réalité des écritures, la foi en Christ est la réalité de l’obéissance à la loi, la prière au nom de Jésus est la réalité de l’offrande faite sous la loi.
Les écrits des apôtres qui apportent la pensée de Christ et qui expliquent Christ comme la réalité de ce qui a été annoncé, ne sont pas l’ombre mais bien le corps.
En revanche, tout écrit des apôtres parlant des hommes (qui sont l’ombre de Christ) doit être amené à Christ pour en connaître le sens spirituel (le corps).
Leurs actes sont l’ombre des œuvres du Seigneur, et pour en comprendre le sens il faut voir Christ.
En Actes 3, les deux apôtres, Pierre et jean, accomplissent un miracle. S’en suivi une ruée populaire vers eux.
« Pierre, voyant cela, dit au peuple: Hommes Israélites, pourquoi vous étonnez-vous de cela ? Pourquoi avez-vous les regards fixés sur nous, comme si c'était par notre propre puissance ou par notre piété que nous eussions fait marcher cet homme ? » (Actes 3 :12)
Pourquoi avons-nous les regards fixés sur les apôtres, comme si c’était par leur propre capacité ou qu’il y ait quelque utilité pour nous de les élever ? Par ce miracle, Pierre et jean vont annoncer le Christ parce qu’il voulait que les hommes lisent au travers de leurs actes la gloire et la puissance de Dieu.
Actes 5:14-15 : « Le nombre de ceux qui croyaient au Seigneur, hommes et femmes, s'augmentait de plus en plus; en sorte qu'on apportait les malades dans les rues et qu'on les plaçait sur des lits et des couchettes, afin que, lorsque Pierre passerait, son ombre au moins couvrît quelqu'un d'eux ».
Pierre lui-même, nous a exhorté plus haut de ne pas avoir les regards sur sa personne mais au travers de cet acte de jeter les regards sur Jésus, le corps dont l’ombre (nous qui avons cru) guérit les malades. Est-ce que nous annulons le miracle accompli par le Seigneur par le biais de Pierre ? Loin de là, au contraire nous confirmons la chose et croyons dans sa souveraineté, il peut encore le faire. Toutefois l’acte reste une lettre écrite avec l’Esprit.
Pour nous résumer, c’est la foi en Jésus-Christ qui est la réalité de ce qui a été annoncé par la loi, les psaumes et les prophètes, les œuvres de la foi sont l’ombre du coté de l’occident. Le livre des hébreux en son chapitre 11 nous fait montrer les œuvres de la foi du coté de l’orient.
En occident ou en orient, la lumière est au zénith où l’ombre trouve son explication, sa réalité, son corps.
Le corps est en Christ, notre chair ne fait pas partie de ce corps car la chair et le sang n’hériteront point le royaume des cieux.
Ce dont notre âme (du croyant) se nourrit est la réalité, ce que la chair vit reste une ombre.
Notre gestion des cookies
Ecrits Libres respecte au maximum vos données !
Nous ne partageons pas facilement nos cookies car nous ne souhaitons pas réduire votre vie privée en miette.
Pour cette raison, nous n'utilisons que très peu de services partenaires et nous gardons le contrôle sur vos données.
Liste des services :
En cliquant sur le bouton accepter, vous autorisez l'utilisation de cookies ou technologies similaires y compris celles de tiers sur notre site internet. Les cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site et permettent de vous offrir des contenus personnalisés, d'analyser l’audience du site et de partager vos publications.